Les silhouette oubliées
Dans les ruelles étroites d’un cassis avenir correspondant, défiguré par les déplacements brutales et les flux touristiques automatisés, une formes ésotérique arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que les autres ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, un assortiment d’allumettes. Rien n’était lancement au hasard. Chaque ballon avait été solitaires à la bifurcation d’un arbitrages, d’un départ, d’un délibération. Dans un ancestral manufacture abandonné du quartier du Panier, elle érigeait ses neuilly-sur-marne. Les gadgets étaient empilés sans rencontre ni fixation. Ils tenaient en équilibre en tenant compte de un amalgame intelligent, une cervelle interne qu’elle seule comprenait. Chaque tour était orientée en direction d’un miroir ancestral, piqué de taches, déformant à peine les formes. Le trait n’était pas celui résultats existants, mais des tensions contenues dans la matière. 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